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La sécheresse inquiète fortement le Maroc.

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  Le Maroc est confronté à une sécheresse spectaculaire. La baisse des précipitation suscite une grande inquiétude chez les agriculteurs. Le pays est pourtant dépendant de son secteur agricole. Mais le secteur confronté par un déficit de pluies affreux, affectant toutes les ressources en eau. Les sols ont soifs, les champs sont secs, les agriculteurs sont stressés, le pays est asphyxié et l’économie est exsangue avec l’arrivée du coronavirus.  L'agriculture est un secteur clé de l’économie marocaine. Il est le premier contributeur au produit intérieur brut, prés de 14% devant le tourisme et l'industrie. Les retenues de barrages ont connu une baisse significative affectant dangereusement l’état des récoltes.    Les femmes dans l'oasis du Skoura, au sud-est du Maroc La sécheresse, la hausse des températures et le réchauffement climatique ont entraîné l’assèchement des sols et impacté la récolte des céréales, des fruits et légumes. Cette situation ajoutée à la surexploitation

Le rôle et l'importance de l’eau dans l’agriculture

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 Le changement climatique est une menace pour la sécurité alimentaire. Que ce soit sous forme de sécheresse, inondations ou ouragan, le changement climatique touche tous les niveaux de production alimentaire. Il met à risque la sécurité alimentaire mondiale et accroît la pauvreté et les dangers liés à la dénutrition dans les régions pauvres de la planète.   La production alimentaire, la sécurité alimentaire et le changement climatique sont intimement liés. Le climat est un facteur essentiel dans l’amélioration de notre qualité de vie. Les effets du changement climatique mettent une forte pression sur les écosystèmes agricoles, particulièrement dans les régions et pour les populations les plus vulnérables.   L’introduction des légumineuses avait été jugée utile pour augmenter la résilience au changement climatique dans la production agricole. C’est vrai car elles s’adaptent vite au changement climatique et contribuent à l’atténuation de ses effets. C’est vrai, les légumineuses sont impo

Economiser l'eau nous permet de l'utiliser pour longtemps

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   L'eau, c'est la source de vie, nous dit-on. C'est vrai. Son existence est essentielle au maintien de la vie et de tous les êtres vivants. L'importance de l'eau pour notre corps dépasse tout commentaire. Tout le monde le sait bien. L'eau nous permet de vivre et de développer tous les secteurs d’activités notamment agricole. Sans eau il n'y a ni vie ni développement. Sans eau il n'y a pas de nature, pas d'environnement et pas de subsistance pour les bestiaux. L'eau est capitale pour toute la créature.   Chez l'homme, l'eau véhicule les éléments figurés du sang et les secrétions comme les larmes ou les sucs digestifs. Elle est nécessaire au maintien de la température et à l’élimination des déchets solubles comme l'urine. L'eau nous permet d'hydrater nos cellules. Elle participe au métabolisme de l'organisme comme le transport des nutriments et des globules. Le manque d'eau entraîne chez l'homme l’arrêt cardiaque ai

L'épisode de sécheresse '' sans précédent depuis 250 ans'' qui a frappé l'Europe deux été consécutifs en 2018 et 2019 risque de se reproduire d'ici la fin du siècle.

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 L'épisode de sécheresse '' sans précédent depuis 250 ans '' qui a frappé l'Europe deux été consécutifs en 2018 et 2019 risque de se reproduire beaucoup plus souvent d'ici la fin du siècle. La raison avancée est le réchauffement de la planète qui met en garde une étude publié ce jeudi, selon l'AFP.   En 2003, l'Europe avait été déjà frappé par une canicule et une sécheresse exceptionnelles causant de dommages très graves à l'agriculture. En 2018, le phénomène s'est reproduit, de même à l'été 2019.   L’étude publiée ce jeudi  dans la revue  Scientific Reports  utilise des données remontant de 1766 et  '' montre que les sécheresse de deux étés consécutifs en 2018 et en 2019 sont sans précédent depuis 250 ans, et leur impact combiné sur la croissance des végétaux est plus forte que la sécheresse de 2003 ''.  Les sécheresses consécutives des années 1949-1950 sont classées deuxième, mais le territoire affecté beaucoup moins éte