ECO-TERRE

  Le Maroc est confronté à une sécheresse spectaculaire. La baisse des précipitation suscite une grande inquiétude chez les agriculteurs. Le pays est pourtant dépendant de son secteur agricole. Mais le secteur confronté par un déficit de pluies affreux, affectant toutes les ressources en eau. Les sols ont soifs, les champs sont secs, les agriculteurs sont stressés, le pays est asphyxié et l’économie est exsangue avec l’arrivée du coronavirus.  L'agriculture est un secteur clé de l’économie marocaine. Il est le premier contributeur au produit intérieur brut, prés de 14% devant le tourisme et l'industrie. Les retenues de barrages ont connu une baisse significative affectant dangereusement l’état des récoltes.    Les femmes dans l'oasis du Skoura, au sud-est du Maroc La sécheresse, la hausse des températures et le réchauffement climatique ont entraîné l’assèchement des sols et impacté la récolte des céréales, des fruits et légumes. Cette situation ajoutée à la surexploitation

  Une quinzaine de personnes ont perdu la vie dans les inondations au soudan.  Des scènes de désolations au soudan après des pluies torrentielles qui ont détruit et endommagé de près de 7000 maisons.  Des fortes pluies s'abattent sur le pays depuis plus d'une semaine. Des ONG locales font état d'une vingtaine d’écoles et huit mosquées emportées par les inondations.  Mercredi, l'ONU a indiquée que 50.000 personnes étaient affectées par les inondations. Selon, le bureau de la coordination des affaires humanitaires, les fortes précipitations ont provoqué des glissements de terrain et les inondations ont endommagé maisons et infrastructures dans 14 sur 18 Etats du pays.  Dans le Nil-Bleu, au sud est du pays, les pluies diluviennes ont provoqué la rupture d'un barrage, détruisant des centaines de maisons et de mosquées. Tous les ans, Soudan rencontre d'importantes inondations en raisons des fortes pluies qui s'abattent entre juin et octobre.   En 2019, ce sont en

https://www.facebook.com/SekouSylla224/videos/1182722942091351/  Cette vidéo montre Conakry la capitale guinéenne engloutie dans les eaux. La honte fait son étalage et l’incompétence des autorités administratives et politiques se met nu.  À quand la rupture avec le passé? Conakry sous les eaux usées, les eaux de pluies, les eaux des latrines et les poubelles. La saison pluvieuse est toujours une occasion pour révéler la mauvaise gestion de l'environnement par les autorités guinéennes, pour ramener à la raison les mal guidés et les mauvais éclaireurs et déclarer une sérieuse attaque aux biens et aux vies des populations, dans les rues comme dans les ménages.  Conakry est mal barré!