No masque, No service: les mots qui masquent les maux en période de Covid-19

 Dans tous les services de l'administration publique et privée, les masques font parler d'eux. Il s'agit de les porter obligatoirement pour entrer dans n'importe quel service. C'est une obligation. Ces mesures COVID-19 sont imposées pour maintenir la santé des employés et employeurs. Mais que se cache t-il derrière ces masques? Comment sommes-nous amenés au respect des mesures sanitaires? Quelles sont les conséquences de ces masques sur la vie sociale et psychologique? Partout on durcit les règles pour amener chacun à respecter les mesures barrières, le port obligatoire des masques.

Le port du masque est obligatoire 

L'ennui et le Covid-19: notre malaise environnemental

 Parmi les mesures sanitaires les plus contraignantes dans les entreprises privées et publiques, le port obligatoire des masques occupent une large place. Il est la chose la plus exigée des employés et cela n'est pas sans conséquence. La mesure influe fortement sur la santé mentale et la vie sociale. Celui qui avait l'habitude de montrer son visage, son long nez ovale ou parfait, son menton en forme V, la blancheur de ses dents et ses beaux sourires aux lèvres s'est vu imposé des règles qui l'exigent de se cacher le nez, la bouche et le menton. Tout ce qui peut lui procurer plaisir et attirance. Tout ce qui lui permettait de séduire et attirer doit désormais être caché. Partout, dans les administrations, dans les entreprises, dans les cafés et restaurants, dans les hôtels, dans les écoles, dans les transports en communs, dans les marchés et supermarchés, partout, dans tous les lieux clos, C'EST NO MASQUE, NOS SERVICE. Cela veut dire qu'il faut vraiment se voiler, homme et femme, peu importe le sexe.

Les pub sur l'obligation du port de masque partout et pour tous

  Nous sommes tous bouleversé par le cadre du travail, de l'environnement, les mesures et les maux liés au coronavirus. Ceux qui pensaient que le port obligatoire des masques pourrait réduire les cas de contaminations se sont leurrer, car plus on porte les masques, plus on se contamine entre nous. Moins on porte les masque, plus on fait attention à nous et aux autres. Les masques augmentent plus les risques de se contaminer entre individu. Pour la simple raison que certains pensent qu'avec les masques on n'est à l'abri du coronavirus, d'autres estiment que les masques sont suffisants pour nous protéger du coronavirus. C'est vrai que personne n'est a l'abri de la maladie. Le virus circulent entre nous et l'on se contamine tous les jours les un les autres appelant à vive voix à l'immunité collective, longtemps conseiller par certains médecins qui encourageaient de s'entremêler pour que l'on se contaminent tous à la fois. Une mauvaise idée des médecins. Comme on a suivi l'avis des médecins, nous voilà tous apeurer du coronavirus. C'est pourquoi pour éviter la généralisation des contamination et enrichir davantage les industrie des masques, les autorités sanitaires exigent le port du masque qui serait une solution face au virus. Nous sommes ainsi devenus des porteurs de masque malades. 

les masques et les malades mentaux dans les transports en communs

 Des malades mentaux dus au coronavirus, il y en a beaucoup. Des malades mentaux qui ne supportent plus les masques, on en compte beaucoup. Des malade mentaux qui circulent entre nous et qui se désolidarisent de toutes activités sociales et humaines, on enregistre souvent. Ils s'individualisent, garde la distance, s'éloignent et coupent toutes relations avec les autres. Puisqu'ils ont trouver sous leurs masques un moyen de vivre cacher, selon leur leurs humeurs, leurs tempéraments et leurs maux psychologiques et psychiques.  Nous sommes tous affectée à de degré divers par le port obligatoire des masques que certains ne supportent d'ailleurs pas. Pour montrer qu'on est fatiguer de porter les masques, certains, au lieu de les porter correctement comme les médecins le conseillent, c'est a dire couvrir le nez, la bouche et le menton entièrement, découvre le nez et la bouche pour cacher seulement le menton peu importe de ce que l'on dira pourvu qu'ils arrivent à bien respirer et rompre avec la chaleur qui mine leur visage. Avec les masque, on les portera pour longtemps. Pour s'en convaincre, lisons ensemble ce message des ressources humaines de ma société :


Bonjour à toutes et à tous,

Dès l’apparition de la pandémie du Covid-19 dans notre pays, toutes les mesures nécessaires ont été prises par la Société afin de préserver prioritairement votre santé et votre sécurité.

Ces derniers jours, nous avons constaté, un relâchement au niveau du respect des gestes barrières.

À titre de rappel :

         porter correctement un masque dans les lieux du travail, il en est de même dans les navettes de la Société ;

         laver et/ou désinfecter les mains avec du savon et de l'eau ou une solution hydro alcoolique, après l’utilisation des transports en commun ;

         tousser ou éternuer dans le pli du coude ou dans un mouchoir jetable ;

         éviter de se toucher le visage (yeux, nez, bouche) ;

         saluer sans se serrer la main, éviter aussi les embrassades et les accolades ;

         respecter la distanciation sociale.

Le respect des gestes ci-dessus constitue une obligation de sécurité sanitaire à respecter strictement par l’ensemble du personnel.

Tout manquement à ces obligations, dont l’inobservation des instructions à suivre pour garantir la sécurité du travail, sera sanctionné conformément à la législation en vigueur.

Notre priorité est d’assurer votre sécurité sanitaire et la continuité de notre activité.

Bon courage.

Ressources Humaines

L'inobservation ou le relâchement de certains employées à cause de l'étouffement et de la gêne nés des masques notamment amènent les ressources humaines de ma société à relancer le message en direction des employés :


Rappel


Bonjour 

 

 Dès l’apparition de la pandémie du Covid-19, toutes les mesures nécessaires ont été prises par notre entreprise afin de préserver prioritairement votre santé et votre sécurité.

Nous vous rappelons l’obligation d’informer les Ressources Humaines de votre état de santé en cas de suspicion de contamination ou d’exposition au coronavirus.

Tout salarié qui a connaissance de sa contamination par un test positif doit obligatoirement s’auto-confiner, conformément aux recommandations de l’autorité sanitaire, et doit impérativement en informer les Ressources Humaines.

Il s'agit d'une obligation de sécurité sanitaire, afin de protéger entre autres les salariés, particulièrement les personnes à risque, et de permettre la continuité d’activité.

Par ailleurs, tout salarié reconnaissant avoir été en contact avec une personne contaminée ou contaminante doit également en avertir les RH.

Enfin, tout salarié présentant les symptômes suivants doit en faire part au médecin de travail et à l’infirmière : rhume et fièvre /maux de gorge /perte de l'odorat ou du goût /diarrhée /maux de tête /fatigue générale.

                         

Il s’agit d’une obligation de sécurité sanitaire à respecter strictement par l’ensemble du personnel.

Tout manquement à ces obligations, dont l’inobservation des instructions à suivre pour garantir la sécurité du travail, sera sanctionné conformément à la législation en vigueur. 

Notre priorité est d’assurer votre sécurité sanitaire et la continuité de notre activité.


Soyez vigilants et veillez sur le respect des gestes barrières, dont le port obligatoire du masque, pour votre sécurité et la protection de vos proches et collègues.

 

Ressources Humaines 

Oui, la préservation de la santé et de la sécurité des employés dans les entreprises est le seul motif qui oblige de porter les masques en entreprise ou en lieux fermés. Dans la rue, comme ailleurs, dans les transports en commun, les avis sur les motivations sont partagés. Les médecins ne se prononcent pas sur les impacts liés au port continu et obligatoire des masques. Puisque dans les hôpitaux, dans les services chirurgicaux, avant le covid-19, le port des masques était limité dans le temps et dans l'espace. Maintenant, au temps du coronavirus, le port des masques est continu. Il est rendu obligatoire partout. C'est dans l'objectif de protéger tout le monde, nous dit-on. Mais combien de personnes sont-ils malades dans le monde à cause simplement des mesures barrières: port du masque, distanciation sociale, se laver les mains avec du gel hydroalcoolique ou de l'eau, utilisations des mouchoirs uniques, éternuer dans le creux de son coude. Ces gestes barrières ont fait plus de malades, car ils ont plus affecter notre moral, notre conscience et notre psychologie qu'ils nous ont protéger de la maladie et procurer d'espoir. 

 Revenons sur le fameux port obligatoire des masques. Est-ce que l'important c'est de porter un masque? Les masques sont si fragiles qu'ils ne protègent presque pas les gens contre le coronavirus, sauf les masque chirurgicaux, FFP2 ou FFP3 qui sont coûteux et onéreux. Mais malgré tout on oblige les gens de porter les masques peu importe leur efficacité, leur nature ou leur originalité: qu'il soit en tissu, lavable, non lavable, utilisable et réutilisable. On ne cherche jamais à savoir si les masques sont filtrants, s'ils nous protègent contre les particules, les contaminations et les maladies transmissibles par l'air et les gouttelettes émises par celui qui porte le masque. Les masques sont censés nous protéger contre les projections de gouttelettes émises par une personne vis-à-vis de l'autre. Mais les masques que nous portons nous protègent-ils ? Sont-ils efficace et résistant face à la pénétration des virus ? Sont-ils filtrants et capable de nous éviter d'être contaminer du coronavirus ?

 Regardons mieux. Puisque les masques ne nous protègent pas, pourquoi nous les portons alors? Juste pour ajouter du mal au mal ou de la souffrance à la souffrance? Comment ces mesures barrières obligatoires ont-ils rendu les gens malheureux? Comment nous rendent-ils malade? Comment avons-nous appris à souffrir en silence dans des masques qui nous offusquent et nous étouffent? Pourquoi le slogan NO MASQUE, NO SERVIE est devenu si populaire dans la notre société, dans tous les lieux fermés et ouvert, dans toutes les entreprises qu'elle soit publique ou privée, dans tous les magasins, restaurant, cafés, marchés, supermarchés, surface de grande distribution? Ces masques que nous portons sont-ils adaptés à l'environnement? Sont-ils recyclables? Contribuent-ils à améliorer ou à détruire notre santé, notre mode de vie, nos libertés, nos looks et nos penchants? Comment l'internationalisation du masque a-t-il impacté davantage la santé environnementale et pollué les milieux naturels? A l’école même les enfants peine à supporter les masque en classe ou en dehors de la classe.

Le port généralisé du masque à l'école, en classe et dans la cour de récré

 Depuis l'avènement du coronavirus, l'homme s'est tellement familiarisé avec le masque qu'il est devenu difficile voire impossible de l'enlever sur son visage. Le masque est devenu son compagnon inséparable. S'il n'est pas sur le visage, il doit forcement être dans le sac à main ou dans la poche pour feindre de respecter les mesures barrières dictées par les autorités compétentes. Alors posons-nous encore d'autres questions: Parce que le port du masque est rendu obligatoire partout, cela a-t-il empêché le coronavirus de se propager? Les gens ne se contaminent plus entre eux? Cela a-t-il favorisé l'éradication du virus ou impacté sur l'évolution de la maladie ? Comment devons-nous comprendre l'obligation de porter les maques, sauf que de l'intimidation, de la pression et de la communication politique? 

 Il n'y a pas un vaccin plus efficace contre le coronavirus en dehors de la responsabilité individuelle, de la prévention et de la protection de soi. Chacun doit être responsable dans son attitude face aux autres. Chacun doit se protéger, se préserver et bien observer les règles d'hygiène. La propreté est une règle morale et civique que nous avons tous appris à l’école depuis le bas-âge. Le coronavirus est venu nous rappeler cette règle sanitaire très simple, mais très importante pour rester en bonne santé. Le coronavirus est venu pour nous remettre face à notre responsabilité individuelle et sociale. 

 Avec l'arrivée des vaccins, on essaie de dire que la seule et la meilleure façon de lutter contre le coronavirus, c'est de vacciner. Vacciner, encore vacciner, toujours vacciner, vacciner matin, midi et soir. Le vaccin est-il alors plus importante que le port des masques? Puisque même dans les couloirs présidentiels et dans les hôpitaux, les conseillers et médecins sont tous unanimes que la seule solution désormais reste et demeure la vaccination, il faut vacciner matin, midi et soir. Ils sont tous unanime que les masques et les mesures barrières sont insuffisants dans la lutte contre le coronavirus. Les gestes barrières, notamment le port du masque, ont favorisé davantage la promiscuité. Puisque des médecins ont solennellement affirmé que le port du masque et le respect des mesures barrières comme la distanciation physique sont des meilleures solutions contre le coronavirus. Mais l'évolution du coronavirus chaque jour, les nouvelles contaminations prouvent à suffisance que les mesures d'hygiène édictées par les autorités sanitaires sont moins efficaces. 

 Alors, au lieu de causer du tort à autrui, empêcher l'exercice des libertés et des droits, n'allons-nous pas vacciner les citoyens, multiplier les campagne d'information et de sensibilisation, développer les communications face à l'urgence sanitaire et rendre chacun responsable de sa propre personne? La solution contre le coronavirus n'est ni le masque ni la distanciation sociale, c'est le vaccin. Il faut vacciner les gens et les laisser respirer de l'air frais, de l'air pur et non pas de l'air torride sous des masques contagieux et transpirants. 

 Les masques masquent des maux qui ne peuvent jamais trouver les vrais mots pour les décrire ou les décrypter. Derrière les masques se cachent toujours des maux que les mots ignorent. Ces maux sont les plus dangereux pour la santé mentale, ils sont difficile à s'en défaire et capable d’altérer nos joies de vivre, nos sentiments et nos mode de vie. Derrière les masques se cachent toujours des maux dont on ne saura jamais expliquer la nature. Donnons la priorité au vaccin. Multiplions les campagne d'information et de sensibilisation pour la santé morale et la protection de la nature en utilisant des mots et des expressions capable de changer les comportement et les mentalités. C'est la communication pour le changement de comportement et les mentalités (CCC). Dans cette période de crise sanitaire, c'est l'information, l’éducation et la communication (IEC)qui permettent de préserver surtout la santé et de garder le moral au beau fixe.

les masques dans la nature polluent davantage

 Protégeons-nous et protégeons notre environnement pour encore vivre longtemps en bonne santé et dans le bonheur.

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