Les déchets plastiques et leurs impacts sur l'environnement.

 Au temps du coronavirus, la question des déchets est relancé. Ce sont les masques et les déchets médicaux qui font beaucoup plus parler d'eux. Ils constituent à eux seuls une inquiétude non négligeable. On jette les masques partout. 

 Des masques jetables, parfois non réutilisables, sont à tous azimuts. On achète aujourd'hui des masques pour les jeter le lendemain après usage un peu partout. Ne pensons-nous pas à nous mêmes en asseyant d’abîmer notre environnement? Un masque jeté par jour et par personne sur une population de 7 milliards et demi d’âmes, que sera notre environnement? Le coronavirus doit nous apprendre à bien gérer nos déchets, à nous protéger et protéger les autres. 

 C’est nous qui les produisons. Nous devons pouvoir donc les gérer en évitant de les jeter partout. Sinon on pollue davantage notre environnement. N'ajoutons pas de l'huile sur le feu. Notre planète brûle déjà. A quoi sert de polluer davantage? Soyons responsable. Protégeons -nous en protégeant ce qui nous entoure. C'est çà l’écoresponsable.

 

 

 Parmi les déchets qui ont un impact énorme sur l'environnement, il y a notamment les ordures ménagères, les déchets ménagers spéciaux et les déchets municipaux ou les déchets produits par les services publics. Leur prolifération et l'irresponsabilité des citoyens dans la gestion de leurs déchets contribuent grandement à la détérioration de notre milieu de vie et de notre santé. Nos vies sont de plus en plus mises en danger ainsi que celles des animaux. 

S'il y a un autre phénomène qui inquiète également, ce sont les déchets en plastique. Ils constituent des éléments qui étouffent et asphyxient notre planète. Dans une étude publiée par la revue Science et rapportée par le journal Le Monde, en l'absence des mesures ambitieuses, des experts ont dit que '' casser la vague de pollution plastique qui nous submerge semble encore possible''. Selon une étude publiée ce jeudi 23 juillet, les experts environnementaux encouragent les efforts sur la réduction des plastiques à l’échelle mondial d'ici à 2040. 

 Cela est possible que lorsque ''la pollution au plastique pourrait être réduite de 80 pour cent annuellement en optant pour une vaste stratégie de baisse de la consommation, de substitution, de la réutilisation et de l’amélioration de la collecte et du recyclage'', selon les expert cité par le journal Le Monde. ''Les quantités de plastiques rejetés chaque années dans l'environnement pourraient tripler d'ici à 2040'', affirment les experts scientifiques. Les rejets annuels serait alors à ''moins de 40 pour cent par rapport à ceux mesurés en 2016''. 

  Réduire de 80 pour cent la pollution par le plastique est jugé par les chercheurs comme ''une bouffée d’oxygène et un grand message d'espoir''. C'est l'avis de Jean François Ghiglione, Directeur de recherche à CNRS à l'observatoire océanologique de Banyuls-sur-mer, aux Pyrénées occidentales.

 L'effort doit donc être collectif pour réduire la pollution par le plastique. Une campagne de sensibilisation est lancée sur toutes les plateformes, dans tous les ménages et sur tous les réseaux sociaux pour réduire à 80 pour cent la pollution en plastique annuellement. Cet objectif annuel pourrait empêcher les déchets en plastiques de tripler à l'horizon 2040. 

 Chaque jour, nous devons faire face à nos déchets et faire face à notre responsabilité. Nous devons polluer moins, collecter nos déchets, les trier et les recycler. Les décharges et les dépôts d'ordures sont disponibles partout et pour tout le monde. Chacun doit faire un peu d'effort pour sauver notre planète des déchets et pollutions environnementaux.

 Les déchets dans la nature polluent les sols, les cours d'eau, les nappes phréatiques et l'air et dégagent des substances toxiques très pernicieuses pour la santé. Soyons responsables et suffisamment responsables dans nos maisons et dans nos bureaux, dans nos voitures et dans nos magasins, dans nos ateliers et dans la rue, c'est-à-dire partout. Trouvons toujours une poubelle pour jeter nos ordures ménagères et autres. Dans la rue, mettons nos ordures dans nos poches ou bien trouvons une poubelle et jetons les dedans. Ne restons pas dans nos voitures, maisons ou bureaux pour jeter des ordures dehors. C'est irresponsable.

 Partout où l'on pourrait jeter un objet, une ordure ou un déchet, soyons attentif et pensons à la santé des autres, à notre santé particulièrement. Avec le coronavirus on se protège et on protège les autres. Nous avons donc une double responsabilité. Soyons responsable! Pour notre environnement, pour notre santé et celle des autres, polluons moins! 

 Les aliments, les plastiques non recyclables, les emballages souillés, les journaux, magazines et emballages recyclables ménagers, les bouteilles en verre, les cartons, les bouteilles et flacons plastiques, les canettes et boite de conserve, les ampoules, les batteries, les piles, les pots de peintures... et les déchets industriels, les déchets dangereux et les déchets liquides sont tous dangereux pour l'environnement. Ils contribuent tous au changement climatique et à la pollution atmosphérique. Ils affectent les écosystèmes et les espèces animales et compromettent dangereusement notre cadre de vie. 

 

 C'est pour toutes ces raisons que nous devons être suffisamment responsables dans la gestion et l'entretien des déchets. Nous devons tous avoir des bonnes réflexes, renforcer l’éducation à la citoyenneté et à l’environnement, promouvoir les valeurs de morales et d’éducation civique et contribuer à la propriété de nos villes et communes à travers des programmes d’assainissement et d’hygiène. C’est comme ça nous allons lutter contre la dégradation et la pollution de l’environnement. $

Il est urgent de rappeler que la pollution par le plastique dans nos océans représentait 11 millions de tonnes en 2016, mais elle représentera 29 millions de tonnes en 2040, selon Breaking the plastic wave, Science. Il est donc urgent d'agir au nom de l'urgence climatique.

Merci à vous pour la bonne compréhension. Ensemble pour une nature plus verte et plus vivable.